Ah, oui, ça tiens mieux....tiens tiens!!!!

Si je propose des crampons, qu' on peut mettre en place , ou enlever comme lucky luc( plus vite que son ombre!!)par moins 20°C et un blizzard de 100km/h, avec les mouffles......
Si j' ajoute qu' on pourra sur les meme chaussures fixer des skis ( un machin qui glisse)pour aller et venir jusqu' a votre couloir préféré....
Si je vous dit que les chaussures de neige glace , les plus chaudes sont rigides et en plastique.( ça peut etre des chaussures légères de ski de rando, pour rejoindre des cascades ou couloir, qui sont parfaite spour le cramponnage!!
Si je constate que les lanières , gèlent, se dessèrent sur les coque plastiques , et compriment les orteils pour tenir ( demandez le résultat à Mr Herzog)
Si on constate que les fixations automatiques ne compriment pas les orteils , et que s' il le faut on peut meme enlever la chaussure avec le crampon pour mettre immédiatement des chaussons d' escalade.
Alors on doit se rendre à l' évidence que la fixation semi- automatique à été créee pour répondre au problème des loueurs qui doivent s' adapter à tous types de chaussures amenées par leurs clients, mais est assez médiocre techniquement.
Pour Benj.david; qu' il perfectionne sa technique de cramponnage avec des bouses( meme sans pointes avant et à longues lannières comme les Jorasses de Herzog)bon marché.Puis en fonction de ses ambitions et de son développement potentiel !!!acquérir un matos top qui utilise les gorges avant des chaussures.....En tenant compte que le matériel spécifique cascades n' est pas le mieux adapté au mixte de haute montagne.....on peut en reparler.
Quoiqu'il en soit, ce n' est pas le matériel qui fait l' alpiniste,et le fétichisme à ce sujet est toujours la signature des mauvais ( confirmé chaque jour!!!!)
Je vous recommande une bonne lecture sur ce sujet:
The Handbook of Climbing, avec une préface de Hamish MacInnes....
On y lit page 210:Clip-on crampons are quick to fit, and with practice they can be fitted even wearing mitts.
On peut penser que les Ecossais ont quelques bonnes idées, éprouvées sur un terrain sauvage.
Daniel
par une journée humide d' octobre